• RÊVE OU RÉALITÉ ?  de Claudine COTTENCIN

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    RÊVE OU RÉALITÉ ?
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    Que j'imagine bien
    Cette main
    Sur la mienne, se poser doucement,
    Et penser au matin,
    Qu'un câlin
    Viendra  en surprise, délicatement ...

    Je rêve aussi
    Qu'aujourd'hui,
    Sera un grand jour pour mon cœur,
    Je songe à ma vie
    Je suis ravie,
    De te savoir et d'être mon bonheur ...

    Je lis tes vers
    Perdus à l'hiver,
    Aux sentiments qui me réveillent,
    Fuyant la terre
    La vie amère,
    Et d'un espoir, aller sous ton ciel ...

    Tu dis je t'aime
    Dans ton poème,
    Je m'envole dans tes voyages,
    Mais quand même
    Tous ces je t'aime,
    Toi et moi, est-ce un partage ?

     
    Le 12/27/2011
    @copyright Claudine Cottencin 

     

     


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    JOLI RÊVE
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    J'ai caché dans mes rêves bleus
    Tout ce que j'ai vu dans tes yeux
    Des bruits se taisant au soir venu,
    J'ouvre la porte et là, sous les nues,
    Je cours vers l'horizon de brume
    Pour respirer le ciel et la lune,
    Je marche dans les jardins de roses
    Sur des parfums mouillés, j'ose
    Rire aux pleurs des nuages
    Enlacés, qui dansent en otages,
    Enchantés par les étoiles dorées,
    Heureux de n'être pas cachés
    Dans un grand champ sans ombre ...
    S'enfuient les pensées sombres,
    Mon cœur se remplit d'été,
    Et son divines au ciel, les cités,
    Les souvenirs sont des images
    Avec mille joies en partage,
    Il y flotte des rumeurs d'étoiles,
    Aux jardins ensoleillés,
    Les amours des filles et des fils
    Se savourent comme des délices ....


    le: 09/07/2013
    @copyright Claudine
     Cottencin

     


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    UN CHAGRIN

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    J'ai vu ton chagrin glisser sur tes longs jours
    Et silencieusement arroser ta peine
    Les pleurs de tes yeux hurlent comme hurlent les loups
    Qui rôdent affamés le soir près des fontaines

    Le vent qui chante au ciel de l'été vient sécher
    Et caresser les joues roses des jeunes filles
    Comme une maman  consolant son bébé
    Au néant des amours en simples guenilles

    Toi qui te plains de connaître mille chagrins
    Cela signifie que tu peux encore aimer
    Quelle chance as-tu d'aimer ! Il est des sans destin

    Perdu dans le temps dans les ans dans les larmes
    Étrange sort qui te laisse le cœur réveillé
    Pour suivre le chemin des douleurs qui désarment


    le: 07/01/2013
    @copyright Claudine Cottencin

     


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